Dark Garden : adoptez le noir au jardin

A la mode gothique

175 ans après la Tulipe Noire de Dumas, le noir a de nouveau la cote au jardin. Mais pas n’importe lequel : noir-violet, noir pourpre, bleu ombré de noir …

Sur les feuillages et fleurs, ces teintes subtiles permettent de créer des massifs comme un couturier dessine un vêtement. Mais plus encore, le Noir symbolise le Gothique, légèrement décadent et follement romantique.

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Tendances jardin 2024

7 tendances jardin 2024 selon Garden Media

Tendances jardin 2024

En fin d’année, je me suis sentie d’humeur internationale et j’ai suivi un podcast de la responsable de Garden Media, une agence media américaine.  Le sujet ? Les 7 tendances qui vont faire le jardin en 2024. Si toutes les trends ne vont pas forcément parler à un jardinier européen, français de surcroît, la plupart se révèlent très inspirantes. En ce tout début de janvier, on regarde de quoi nos jardins seront faits !

Une tendance majeure : l’éco-optimisme

Certes, l’actualité n’encourage pas l’optimisme béat. Mais pour combattre l’éco-anxiété, rien de mieux que l’action. Cela tombe bien, cultiver son jardin n’a jamais été aussi trendy : local, bio, méditatif… le jardinage incite à être plus optimiste.

Communauté éco optimiste

La génération Z en force

La génération Z correspond aux personnes nées entre 1995 et 2010. Ce sont les nouveaux clients des jardineries et pépinières, car ils sont friands de vert autant que d’objets connectés ! La plupart ont emménagé dans leur propre appartement (sans en être forcément propriétaire), et ont une notion très nette de comment le végétaliser. D’autant plus que la plupart y passent beaucoup de temps : le télétravail se normalise à vitesse grand V. Parallèlement, cette génération se veut fortement engagée : elle n’hésite pas à reporter son achat si le produit ne correspond pas à ses valeurs, ou qu’il ne véhicule pas une histoire propre. Enfin, sa forte appétence pour le digital le dirige vers le commerce en ligne et les comptes d’influenceurs. Tout cela donne beaucoup de grain à moudre aux vendeurs de plantes !

Une fascination pour la science-fiction et le futur, mais dans une optique pop

*Exit les villes hyper bétonnées à la Blade Runner, bienvenue aux immeubles noyés dans la végétation. Exemple le plus typique, l’aéroport de Singapour, qui se présente comme une forêt immergée.  De manière plus macro, cette tendance se traduit par un choix de plantes à fort caractère (comme les carnivores, avec leur look punk) et des pots lumineux, au design retro-futuriste.

SIngapour côté jardin
SIngapour côté jardin

Noir velouté (Delight in the dark)

Cette tendance est très marquée dans le monde anglo-saxon, car la RHS l’a aussi reportée dans son bulletin de tendances. : fleurs sombres, influences gothiques et victoriennes, squelettes. Une atmosphère qui insuffle du mystère au jardin, lui-même un peu abandonné. Dans cette tendance, on retrouve aussi les cours de jardinage de nuit ou sous la lune. Les fleurs noires ont la cote : tulipes, muflier ou pavot zamio ‘Raven ‘

Tendance Black Delight
Tendance Black Delight

Petites bêtes :

Attirer les pollinisateurs est plus que jamais essentiel pour le jardin. Mais s’ajoute désormais une fascination pour les autres insectes : gravures anciennes d’insectes, bijoux scarabées font ainsi leur grand retour. Dans votre jardin victorien légèrement négligé, laissez des troncs morts et regardez la vie se développer.

Le jardin vertical : Vertical gardening

Plus petits, plus condensés, les jardins en pot attirent les personnes âgées qui privilégient ainsi un jardinage plus aisé. L’offre s’adapte : en intérieur, on assiste au retour des plantes en suspension ou des retombantes (pothos, philo, chaîne des cœurs). Au potager, tomates cerises et myrtilliers tiennent la corde, d’autant que la culture en pot les préserve des ravageurs comme les lapins. Avec son format portrait, le jardinage vertical est pensé aussi pour les partages sur les réseaux sociaux.

L’appel de la nature :

La dernière tendance reboucle avec la première. C’est la communauté qui prime sur l’individuel. On cultive certes chez soi, mais pas tout seul et surtout en pensant à la planète. D’où l’intérêt des micro-forêts urbaines, des jardins intégrés dans le tissu citadin et plantés d’essences indigènes.

Vous en voulez d’autres ? Allez sur le site suivant : Le site des tendances jardin 2024 de Garden Media

Intelligence artificielle et rédacteur : la fin du métier ?

personne utilisant l'intelligence artificielle pour la rédaction

Certes, j’arrive sûrement un peu après la bataille : ChatGPT a entrepris son attaque en règle des bases de la rédaction avec un succès bluffant. Fleurissent dorénavant des billets de blog ou sur LinkedIn sur les prompts GPT les plus performants, ceux qui optimisent le plus … Et le rédacteur dans tout cela, que devient-il ?

Open AI et projets

Pour info, je parle de ChatGPT mais j’aurais bien pu parler de n’importe quel outil conversationnel doté d’une intelligence artificielle. Il s’avère juste que j’ai travaillé sur celui-là en priorité.
Lorsqu’il a débarqué, j’ai commencé à jouer sur cette nouvelle interface. Je l’ai lancé sur différents projets :
• Une description de produit pour mes clients éditeurs de papiers-peints
• Un article pas-à-pas sur le bouturage de bégonia pour un blog jardin
• Un plan d’article pour présenter un label horticole

 

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Tendance jardin 2022 : un goût de 2021

Tendance, le jardin ? Loin de l’image ringarde du potager de Mamie, le jardinage fait dorénavant dans la hype. Cette aura de modernité – inédite depuis l’arrivée de la covid – m’a poussée à lire le document Garden Media intitulé «  Garden Trends Report 2022 » (tendance jardin 2022), écrit dans la langue de Shakespeare, mais concentré sur le territoire de Biden.

C’est peu de dire qu’il ouvre de nombreuses perspectives, toutes plus alléchantes les unes que les autres. Car post-pandémie (oui, j’y crois), nous nous trouvons à la croisée des chemins : d’un côté, les jardineries et le marché du jardin ont le vent en poupe, mais de l’autre, nous vivons dans un monde de plus en plus citadin, pressé, et diablement compliqué.

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Outil de rédaction

Les 10 ressources favorites de la rédactrice

Certaines périodes creuses présentent un intérêt pour l’écriture de ce blog : j’ai enfin un peu de temps pour m’y consacrer ! Je prends donc quelques minutes pour présenter une liste d’outil indispensables à mon métier de rédacteur…. Ou comment rendre la rédaction plus simple au quotidien !

Les outils de rédaction papier : le retour aux sources

Je me suis amusée avec Canva pour faire une petite vidéo style épique sur mes trois sources de bases dans l’écriture quotidienne, pardonnez-moi…

Donc, vous trouverez :

  • un dictionnaire Larousse de 1998 (je suis pas très à jour) avec ses jolis drapeaux sur le 2ème et 3ème de couverture. J’avoue préférer le Robert, qui a largement accompagné mes parties de scrabble endiablées avec mes parents, mais ils n’ont pas voulu le lâcher pour moi…. Ce que je comprends tout à fait !
  • un dictionnaire des synonymes : je vous présente plus bas la version en ligne, mais j’ai un faible pour ce dictionnaire bien fichu, qui a aussi l’intelligence de présenter les antonymes.
  • Et mon chouchou, le Voltaire : il répertorie les principaux écueils de la langue française et je me replonge régulièrement dedans pour réviser. Oui, je n’ai pas du tout la science infuse, et le participe passé des verbes pronominaux me donne régulièrement du fil à retordre. A ce sujet, je ne peux que vous inciter à passer le test Voltaire

Les tips sur Internet pour bien rédiger

Rassurez-vous, je ne passe pas tout mon temps le nez dans mes bouquins pour bien écrire. Mon outil de base, Word ou Googledocs, me donne pas mal de pistes pour bien écrire sans coquilles ou fautes de frappe grossières, et je dois un peu le brusquer pour certaines fautes qu’il s’ingénie à me signaler (il déteste par exemple le mot micro-ondes, peu importe l’orthographe que j’utilise).

Là encore, on retrouve des dictionnaires de synonymes : le plus ancien, le dictionnaire électronique des synonymes CRISCO, a été élaboré par l’université de Caen. Mais après un blackout de quelques heures il y a quelques années, je lui ai troqué un autre site tout aussi efficient, le CNTRL. Je vous laisse faire votre opinion entre les deux.

Je ne suis pas une grande fan du Bescherelle et du Bled, peut-être en raison des exercices à la chaîne que m’imposait quand j’étais en primaire. J’ai pour mes interrogations métaphysiques en conjugaison un petit site bien pratique, le Conjugueur. Un outil en ligne utile pour la rédaction sans y passer trop longtemps.

Et parce que l’anglais fait de plus en plus partie de notre vie, je vous partage mon site de traduction, Reverso, pratique.

Dernière petite pépite, cette page consacrée aux raccourcis clavier pour les symboles. Certes on peut également utiliser le copier-coller, mais je trouve tellement plus classe de taper le code…

La productivité sans peine : des outils pour une rédaction efficace

Connaissez-vous la méthode Pomodoro ? Cette organisation de travail par tranches de 25 min+ 5 min de pause a sauvé bien des journées de flemme démobilisation. Il existe des timers en ligne, mais j’ai préféré cette Méthode Pomodoro adaptée à mon usage d’Internet : cette extension de chrome me permet de ne pas me balader sur les sites internet les plus chronophages pendant les périodes de travail sans pour autant me restreindre (j’ai besoin d’internet pour mes recherches documentaires). Et si je n’ai vraiment pas besoin d’internet pour bosser, comme quand j’écris non stop, pas de souci, j’utilise le timer de mon téléphone. Simple, non ?

Et je finis par un site un peu old school, mais qui est fort pratique quand on n’a pas le compas dans l’œil. Ce compteur de mots ou de signes comptabilise le nombre de mots/lettres dans un texte sans passer par le compteur Word. Il est utile pour évaluer quelle sera la taille du texte de 8000 signes demandée par votre client en urgence…

J’espère que cette mini liste vous aura intéressés ! Et vous, quels sont vos outils préférés ?

Pilea plante

Une virée belge… à Floralux

Dès notre arrivée à Lille, j’ai compris que nous étions dans une ville frontalière, la Belgique ne se trouvant qu’à une trentaine de kilomètres de la Capitale des Flandres. Et qu’en matière de shopping, nos voisins Belges ont bien plus d’arguments que nous. L’ouverture dominicale y est bien sûr pour quelque chose, mais aussi la qualité des magasins…  Je vous illustre tout cela (côté jardin) dans l’article spécial Floralux !

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Mon jardin lillois aux 4 saisons : une échappée confinée

Eté, automne, hiver et printemps : 4 saisons, 4 ambiances de jardin et une envie différente à chaque fois pour le mettre en avant.

Un jardin pièce à vivre pour l’été

Rosier grimpant rose

On commence par la plus douce des saisons, l’estivale ! En cette saison douce, nous profitons à plein du jardin : repas pris sur la terrasse, chiliennes accueillantes et échanges de volant (de badminton) constituent notre quotidien. 

Notre jardin est assez préservé du soleil (sauf entre midi et deux, moment où le parasol en arrière-plan prend toute son importance), et les fleurs prennent leur temps pour éclore… 

On aperçoit donc au premier plan le deutzia qui a beaucoup souffert des averses nombreuses des dernières semaines, et à droite se devine une merveille de rosier grimpant, d’autant plus inattendu qu’il pousse dans la jungle de mon voisin… Mais un coup de taille dans le buis attaqué par la pyrale lui a enfin offert l’ensoleillement qu’il mérite, et nous pouvons profiter de lui. 

La pelouse montre des signes de reprise après une année difficile. Mes voisins ont opté quant à eux pour du gazon de placage, j’avoue que ce tapis vert, très green anglais, me fait de plus en plus de l’oeil… Mais la préparation du sol me décourage d’avance. 

Côté terrasse, les semis de menthe et de basilic ont porté leurs fruits jusqu’à l’arrivée très contrariante des loches et limaces. Lille oblige, la coupelle de bière fonctionne plutôt bien, mais n’est pas non plus la panacée. 

Jardin été Hauts de France

Un jardin dedans-dehors pour l’automne

Jardin d'automne lillois

L’automne tombe doucement : le froid se fait ressentir matin et soir, mais pas assez pour décourager le café sur le banc de la terrasse, bricolé par un ancien propriétaire avec des travées de chemin de fer (c’est rustique à défaut d’être élégant. ) 

Les feuillages prennent le dessus : le fusain évidemment et son feuillage bicolore, la vigne qui adore envahir tout le jardin se pare d’un joli orangé, et le cerisier d’à côté également. 

En général, l’automne correspond aussi à la saison de la taille chez moi : j’essaie d’endiguer les rosiers, de calmer les ardeurs d’un arbre inconnu planqué dans le prunier. Et surtout je laisse en place les jolies panicules de l’hortensia, quasiment plus esthétique que les inflorescences estivales roses ! 

Un jardin vu de l’intérieur pendant la saison hivernale

Jardin enneigé Hauts de France
Jardin enneigé Hauts de France

Bien sûr, tous les hivers ne sont pas neigeux, mais le jardin à cette saison prend des allures de carte postale que l’on contemple sans vraiment s’y aventurer. Enfin,si… Mais les sorties vers le compost ne comptent pas ! 

La neige donne un air féérique à tout jardin, et celle-ci ne déroge pas à la règle. Elle permet aussi de cacher les défauts de mon jardin, les trous de la pelouse et les branches mal taillées, les coins de massifs laissés à l’abandon…

Mais je me donne bonne conscience en ayant créé un abri à hérisson dans le fond du jardin. En réalité, il ne s’agit que d’un gros tas de branchages que j’ai oublié d’emmener à la déchèterie, mais cela a suffi pour que cette brave bestiole s’y trouve bien.  Autre satisfaction, les boules de graines, qui attirent les mésanges bruyantes. Je m’en réjouis, car j’ai craint pendant un temps que les perruches du parc voisin se donneraient le mot pour squatter chez moi, et là, le niveau sonore aurait été bien plus élevé ! 

Un jardin qui revit au printemps

Jardin printemps Lille
Jardin printemps Lille

Vous le voyez, ce joli rayon de soleil qui perce à travers les feuillages ? Bienvenue dans la saison printanière, la plus jolie de tous. Bien sûr, elle est synonyme de travaux de jardinage, mais j’avoue que les semis ont perdu en intérêt ces derniers temps, devant ma nullité au moment du repiquage.

Je ne désespère pas de recommencer encore et encore, à condition de préserver mes précieuses plantules des appétits féroces des mollusques… On ne sait jamais, peut-être y arriverai-je cette année !

En attendant, merci de m’avoir suivi dans ce tour d’horloge annuel de mon jardin !

Le référencement naturel ou SEO

Il y a environ un mois, j’ai suivi une formation en référencement naturel, mise en place par Olivier Andrieu. Son expertise en SEO ne l’empêche pas d’être très accessible, et fort plaisant à écouter. Retour sur les principaux enseignements du e-learning !

Pourquoi se former en SEO ?

Depuis que je suis rédactrice, je me prends pour M. Jourdain : je fais du SEO en amateur, sans vraiment m’en douter. Malheureusement, l’exercice a ses limites. Lorsqu’un client me demande dans un article de placer jusqu’à 15 fois une expression ou un mot-clé imposé, je n’ai pas les bons arguments à leur avancer, si ce n’est le manque de lisibilité final. (depuis, j’ai l’argument : cette pratique s’appelle du « keyword stuffing » et est pénalisée par Google).

L’autre déclencheur, c’est évidemment la montée en compétence. Ajouter une certification SEO à mon profil est un atout non négligeable pour un rédacteur. L’idée était aussi de vendre ses prestations un peu plus cher, mais pour cela, il faut trouver de nouveaux clients…. J’en profite donc pour vous rerouter sur mon lien de profil freelance Malt !

Bien se former en 2021

Vous avez tous entendu du CPF (Compte Personnel de Formation) ? Souvent mis en avant pour les fraudes, il se révèle un outil très pratique pour valider des formations en un rien de temps. En remplissant mon compte formation et en convertissant mes heures de DIF, j’ai pu accéder à un catalogue de formations très large. Celle que j’ai finalement choisi, Formaseo, mariait les trois critères de bases : 

  • une formation en ligne 
  • un coût non prohibitif
  • une reconnaissance finale sous forme de certification

En prime, je bénéficiais de l’expertise d’Olivier Andrieu. Une discussion impromptue avec une agence SEO m’a confirmée dans mon choix. Une simple validation sur le site, quelques tests préalables et j’ai pu me lancer dans le bain. Elémentaire ! 

 

 

Ce que j’ai appris avec Olivier Andrieu

Tout d’abord, le SEO (Search Engine Optimization) qu’est-ce donc ? Il s’agit d’un ensemble de règles et de mesures destinées à faire apparaître un site ou une page dans les premières pages de résultats de Google (les SERP). Cet ensemble s’articule en 4 axes, dits 4 C :

  • le code : la structuration du site ou de la page doit se traduire dans le code html avec des balises précises et ordonnées.
  • la conception : le plan et le maillage du site doivent être optimisés.
  • le contenu : le texte et les médias doivent être rédigés en suivant les préconisations lexicales chères à Google.
  • la célébrité : les liens font l’objet d’un soin attentif.

Bien sûr, la partie rédactionnelle m’a captivée. Elle m’a donné des munitions pour expliquer à mes clients l’inutilité d’ajouter des fautes d’orthographe, l’importance des balises ou encore l’obligation de bien respecter l’ordre des mots dans les expressions-clé. Bref, une vraie boîte à outils.

Les critères techniques ont également été une vraie découverte : j’avais bien sûr été initiée au html et CSS, mais comprendre leur usage dans l’optique du référencement organique a bien plus de poids. Chaque vidéo faisait l’objet d’un QCM final et la formation débouchait sur une certification.

Quelques semaines plus tard, je dois avouer que je me sens bien plus assurée face aux clients lorsqu’ils souhaitent des textes optimisés. Le référencement naturel n’est plus un vilain épouvantail, et je peux expliquer plus sereinement mes choix d’écriture aux clients. Une formation à recommander ! 

Un calendrier, en 2020, c’est démodé ?

J’en ai déjà touché un mot ici, le voici enfin : notre calendrier 2020 spécial jardin indoor/outdoor… Un agenda qui ne se veut pas que pratique, et pas que esthétique, un must-have sympathique à proximité des plantes vertes !

Calendrier Marion Hugoo x Anne Mansuis

Green et fashion, le calendrier perpétuel idéal

Genèse du projet ‘green calendrier’

Marion Hugoo est une styliste et consultante mode qui a bien plus qu’une corde à son arc. Un jour, autour d’un thé, a surgi l’idée d’un calendrier, un cadeau à se faire à soi-même et qui ne parlerait que de jardin.

Aussitôt dit, aussitôt fait, nous voici à débroussailler le concept, à échanger sur les couleurs, les illustrations, les idées à partager… Le thé est vraiment un grand accélérateur de projets !

Pour qui est destiné cet agenda ?

Nous ne sommes pas allées bien loin : pour nous. C’est à dire :

  • des urbaines / périurbaines un peu pressées
  • pas très douées pour le jardin
  • mais qui n’ont rien contre un peu de vert dans la vie….

Et comme l’une est dotée d’un micro jardin et l’autre d’une cour (un jardin parisien, comme on dit à Lille…), nous avons aussi voulu parler de plantes d’intérieur. 

Ah, et dernier point, il fallait absolument que je convainque mon fils qu’un radis pousse dans la terre et non dans un bac à légumes. Challenge…

Comment avons-nous procédé ?

Au commencement était le verbe… Enfin, surtout les conseils pour l’intérieur et l’extérieur. L’idée, c’était de rester dans le simple mais pas le simpliste, de donner quelques astuces et surtout de donner envie de mettre les mains dans la terre. Ensuite, j’ai laissé Marion se déchaîner sur son clavier, sa tablette…

Des réunions, des hangouts et pas mal de commentaires sur Google drive ont été nécessaires pour faire fleurir notre agenda. Après une évolution de police assez drastique (et très réussie), des couleurs à faire varier, et des choix iconographiques un peu trop ambitieux parfois (non, dessiner entièrement un oranger, ce n’est pas simple comme un bonhomme bâton), nous voici devant ce beau pdf…

Et on en est fières !

Et au final ?

A quoi va servir ce calendrier 2020  (qui peut aussi être un agenda 2020 ou 2022…) :

  1. Se motiver pour planter des fraisiers, des tomates, un chou kale…
  2. Donner des pistes pour que votre Maranta survive plus de 3 mois
  3. Décorer votre frigo, après tout, les couleurs sont top !
  4. Offrir à votre collègue de bureau, votre maman, vos amis…
  5. Le ranger dans son dossier « A Faire – urgent » (on l’a tous…)
  6. On vous laisse nous le dire !!!

Pour télécharger notre calendrier Marion Hugoo x Anne Mansuis, c’est ici : 

Calendrier 2020 green

Alors, vous en pensez quoi ? Un calendrier, en 2020, est-ce si démodé ?