Qui suis-je ?

Anne Mansuis

Tombée dans la marmite de fleurs quand j’étais petite : un papa qui collectionnait photos et livres de plantes, un jardin organisé comme une pépinière… et au fil de mes lectures sous le cornouiller, l’amour des mots qui s’épanouit. L’idée d’en faire mon gagne-pain a tout doucement germé en moi.

L’amour des images

Pour atteindre mon objectif, étapes décisives et chemins de traverses ont parsemé mon itinéraire. J’ai ainsi parlé en images pendant quinze ans. Les agences MAP / Mise au Point et Biosphoto / Biosgarden ont exercé mon oeil d’iconographe jardin et maison. De belles expériences auprès d’une clientèle de magazines, jardineries et de maison d’édition. Et de grands moments auprès de mes collègues amoureux de photographies de nature. Ma plus grande victoire ? Les convaincre qu’un beau jardin est aussi spectaculaire qu’un animal…

Une reconversion en rédaction web et print

Ces pages parisienne et avignonnaise tournées, je suis revenue à mes anciennes amours : l’écriture et les mots. La reconversion dans le monde du community management a renforcé cet engouement pour les calendriers éditoriaux carrés, les posts pointus et les articles détaillés. Bref, le contenu prime !
Mon installation sur Lille a coïncidé avec mon établissement en tant que rédactrice print et web freelance. Mes premières armes, je les ai faites en écrivant des fiches produit auprès des entreprises clé de la région comme la Redoute ou Showroomprivé. Autre atout, les entreprises comme Ubiqus, qui m’ont donné ma chance en tant que rédactrice de débats. Assouplie, ma plume ne demandait qu’à s’envoler vers de nouveaux horizons.

Un secteur de prédilection : le jardin et le végétal

Se spécialiser est indispensable dans le métier de rédacteur. C’est tout naturellement que s’est imposé le secteur du jardin / jardinage.
Je l’ai longtemps fréquenté en tant que représentante auprès de l’AJJH de l’agence Biosgarden
j’en maîtrise le vocabulaire et le latin n’est pas une langue morte pour moi
J’apprécie les thématiques liées. Je crois fermement que l’enjeu climatique peut aussi se jouer au sein d’une petite parcelle jardinière, dans l’accueil de la biodiversité, le choix du compostage, des semences, des outils adéquats.

En guise de conclusion, je remercie Nicolas Boileau pour la limpidité et l’élégance de son propos :

Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément.

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